- Le pays d’Olt – Préparation de l’aligot
- Le pays d’Olt – Balade autour de Golinhac
- Le pays d’Olt – Visite de Conques
- Le pays d’Olt – Château de Valon
Cathy & Jean-Louis |
Un kiwi luxuriant, non loin d’un bananier, est le signe d’un micro-climat particulièrement doux et d’une exposition sud bien ensoleillée, dans cette montée vers la cathédrale de Conques.
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Un second aperçu sur la vision médiévale de l’enfer, avant de partir pour Marcillac-Vallon. |
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Un bourdon “Bombus terrestris” butinant le chardon à carder.
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Citron de Provence, Cléopâtre (Gonepteryx cleopatra)
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Très jolie galle de l’églantier, à peine rosissante, provoquée par le développement d’un Cynips, Diplolepis rosae, insecte de l’ordre des hyménoptères. Il n’existe, essentiellement, que des femelles qui se reproduisent sans fécondation par parthénogenèse (reproduction à partir d’un ovule non fécondé ; s’observe également chez les pucerons notamment). Les mâles sont très rares. La galle de l’églantier se forme sur les tiges, pétioles ou feuilles et renferme de nombreuses cavités larvaires abritant chacune une larve. Elle est connue sous le nom d’origine persane de bédégar (emporté par le vent) ou de barbe de St Pierre.
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Jeu de quilles aveyronnais : 8 quilles debout de 60 cm, un “quillou” de 60 cm maximum, une boule en bois dur de 4 à 6 kg A la fin du XIXème siècle on dénombre pas moins de 160 jeux de quilles différents à peu près également répartis sur le territoire français. En Rouergue, c’était le jeu à 9 quilles qui était le plus pratiqué. Il s’agissait de réaliser des figures imposées par le meneur de jeu (« jouer à mettre ») ou bien d’atteindre des scores sans les dépasser (jouer à la « vingt et une » ou à la « trente et une »). Dans la région d’Espalion, une des figures consistait à « prendre quille ». Elle prit peu à peu le pas sur les autres. Dès lors, il n’y avait plus que huit quilles debout et on s’acheminait vers le jeu actuel. Celui-ci fut codifié en 1912 par un groupe d’Aveyronnais de Paris autour de Joseph Ayrignac, président fondateur de la Solidarité Aveyronnaise. |
Une partie se déroule en neuf coups : 3 à petites distances, 3 à distances intermédiaires et 3 à longues distances. Ces distances varient selon l’âge et le sexe des joueur(se)s.
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Balade sur le sentier des Buissières (La Vinzelle, hameau de la vallée du Lot, non loin de Conques)
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Araignée labyrinthe tapie dans l’ombre au fond du cône au centre de sa toile immense. Ses moeurs sont admirablement décrites dans les récits entomologiques de Jean-Henri Fabre.
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Très belle insertion de cette maison dans le paysage, jusqu’au toit végétalisé du garage planté de bruyère et de genêt.
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Pierre ferrugineuse (schiste)
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Très jolie balade au sentier bordé de buis couverts de mousses
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Vue sur La Vinzelle – Ci-dessous : lichens
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Bousier – Ci-contre : mouche dorée (Lucilia caesar) ou mouche verte (Lucilia sericata) ? |
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Pour épargner les terres arables, le village de La Vinzelle s’étire à même la roche. Ainsi, le clocher est décalé par rapport à l’église. Les maisons, plantées dans la pente, ont deux entrées, à la cave et au grenier !
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Encore un beau toit de lauzes – Ci-contre : “Lo trabalh”, pour le ferrage des vaches par le maréchal-ferrand |
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Qu’est-ce que c’est que cette foule joyeuse qui s’apprête à se jeter dans les eaux très fraîches du Lot ? 139 Hollandais en vacances dans un camping des environs !
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